Bio de Cabrel : toute la presse en parle

 

Depuis sa sortie, la bio de Cabrel a déjà fait couler beaucoup d’encre…

 

 

Petit florilège des nombreux articles déjà parus sur la biographie de Francis Cabrel publiée chez Flammarion…

 

« Le journaliste et romancier Hugues Royer (déjà auteur du best-seller Mylène) décrypte le phénomène Cabrel et sonde les mystères d’une personnalité complexe. »

FRANCE-SOIR

« Cabrel est une très belle biographie, remarquablement écrite. On sent qu’Hugues Royer a pris la mesure d’un artiste qu’il admire. »

GALA

« Au fil des pages se dessine le portrait d’un Cabrel à la fois généreux, sauvage, sincère, engagé… et surtout totalement inédit. Indispensable pour les fans. »

VOICI

« Pas de révélations fracassantes, mais des éclairages en finesse : l’origine des tubes, sa rencontre avec sa femme,  ses coups de blues, sa phobie des villes et la paresse cultivée comme un art ».

TÉLÉ 2 SEMAINES

« Une biographie sur le plus secret des chanteurs français ? Attendue, forcément. Hugues Royer relève le défi avec talent. »

TÉLÉ LOISIRS

« Un livre qui réussit l’exploit de raconter l’histoire d’un homme sans histoire. »

MICHEL FIELD

« Les témoignages de la sœur et du frère du chanteur viennent enrichir cette biographie d’anecdotes qui en disent long sur l’artiste perfectionniste, l’époux fidèle, le père qu’il est devenu et le bon vivant qu’il a toujours été. »

DIRECT MATIN

« Dans cette bio, Hugues Royer nous dépeint un homme énigmatique et discret. Inattendu et bouleversant d’émotion. »

CLOSER

« Une biographie passionnante qui dévoile tous les secrets de l’homme d’Astaffort. »

FRANCE-DIMANCHE

« Un portrait inattendu et attachant où l’on découvre un homme sincère derrière l’immense artiste qu’on connaît. »

LE SOIR

 

300 000 albums en 3 semaines !

 

Eh oui, autant de succès, c’est indécent. Mylène en rougirait presque…

 

 

Le succès de Bleu Noir ne s’est pas démenti avant les fêtes : avec près de 300 000 exemplaires vendus en 3 semaines, le bouche à oreille continue d’être favorable au nouvel opus de la rousse, qui occupe la première place du Top albums. Un disque planant et différent, que des milliers de Français ont découvert… sous le sapin. 

Biographie de Cabrel : le teaser

Alors que la biographie de Cabrel continue de cartonner en librairie et sur amazon.fr, je vous propose de visionner un teaser apparu sur Youtube…

Mylène explose les charts !

 

En deux semaines, la rousse a vendu plus de 220000 copies de "Bleu Noir"...

 

C’est la joie et l’allégresse dans l’entourage de Mylène, qui ne s’attendait pas à de tels sommets. Et pour cause… 

1) Pour la troisième semaine consécutive, Oui mais…non est en tête du Top 50 et, de fait, devient le premier tube de Mylène depuis bien longtemps. Diffusé par les radios, présent sur les chaînes musicales, il signe un retour fracassant digne de la grande époque farmerienne. Ce ne sont pas seulement les fans qui adhèrent, mais le grand public, celui qui a sacré Mylène reine des années quatre-vingt.

2) Surtout, le succès du single et la curiosité du public pour un album réputé différent (décuplée en cette période de fin d’année ) font de Bleu Noir un album qui s’arrache : plus de 220 000 copies écoulées en deux semaines, c’est un véritable exploit salué à juste titre par la profession. Evidemment, le succès appelant le succès, le fait que ce record ait été relayé par les médias accentue encore la dynamique. 

Le soufflet peut-il retomber ? Certains estiment que Bleu Noir ne contient pas d’autre tube potentiel pour alimenter la machine. Mais on sait que l’album L’Autre, il y a vingt ans, a surtout profité de l’impact considérable du tube Désenchantée. Alors, selon toute vraisemblance, Bleu Noir, qui a démarré en trombe, a toutes les chances de surclasser les ventes des deux albums précédents de la star.

Cabrel en concert… à Astaffort !

Ça s’est passé samedi soir, à la Music’Halle d’Astaffort. A l’occasion de la traditionnelle fête de l’école de musique, danse, théâtre et dessins du plus célèbre village lot-et-garonnais, Francis Cabrel, l’enfant du pays, est venu entonner plusieurs de ses chansons ainsi que quelques chants de Noël. Christian Moulié, Jean-Michel Martinez, Didier Fornt-Torrès, François de Castro, Philippe Cabrel et toute la classe de chant l’ont rejoint sur les planches pour enflammer l’assistance. Et certains osent prétendre qu’il n’y a qu’à Paris que ça bouge…

Une photo rare où l'on aperçoit Philippe, le frère cadet de Francis (au centre).

Evidemment, il n’est pas trop tard pour offrir la bio de Cabrel à ceux qui apprécient ses chansons à Noël…

Voir le lien ci-contre avec amazon.fr (commander la bio de Cabrel)

« Je reviens bientôt » sort le 6 janvier

Voici la couverture de mon prochain livre, déjà disponible en pré-commande sur amazon.fr...

Après Mylène et Cabrel, deux succès en librairie, mon prochain livre, intitulé « Je reviens bientôt », paraîtra le 6 janvier prochain (éditions Michalon). Pour le découvrir, je vous propose de lire une note présentée par l’éditeur aux libraires…

En 2008, l’auteur apprend que son père est atteint d’un cancer, le pronostic médical ne lui donne pas six mois à vivre. L’écriture s’impose alors à Hugues Royer, presque de manière superstitieuse, pour déjouer la fatalité. Tant qu’il écrira, son père vivra. C’est un nouveau lien, le plus intime peut-être, qu’il tissera avec lui, en plus des visites incessantes qu’il fera dans la maison familiale de Touraine, puis à l’hôpital. Entre les deux hommes, un dialogue se noue et les liens se resserrent. Hugues Royer raconte aussi les rapports d’une fratrie, le terroir de son enfance, son métier de journaliste people dans lequel il ne peut plus s’investir, comme anesthésié.

 

Ce texte allie les qualités de plusieurs grands romans qui ont marqué l’histoire de la littérature du deuil. La pudeur et le magnifique hommage au père rappellent La Place d’Annie Ernaux (Gallimard). La densité du deuil et la mélancolie omniprésente nous plongent dans Les Déferlantes de Claudie Gallay (Le Rouergue). L’horreur de la médicalisation et la souffrance qu’Hugues Royer éprouve à voir son père partir sont proches des émotions dépeintes dans Son Frère de Philippe Besson (Julliard). Enfin la dignité du père de l’auteur et la manière dont il s’exprime à travers la plume de son fils remue les tripes comme Deniers fragments d’un long voyage de Christiane Singer (Albin Michel).

 

L’auteur signe un récit bouleversant, plein d’humilité et d’une superbe plume. 

 

Quels seront les prochains singles de « Bleu Noir » ?

 

Il ne s’agit pas d’indiscrétions, mais juste un pronostic personnel – l’erreur est humaine – après une écoute attentive de l’album pour repérer les titres les plus accrocheurs.
Après Bleu Noir, les prochains singles pourraient être :

Toi L’amour
C’est une ballade mid tempo idéale comme second extrait : le thème est fédérateur, l’intro magnifique et l’ensemble de la chanson très agréable à l’oreille, l’un des fleurons de la collaboration de Mylène avec Moby.

Lonely Lisa
Le second titre composé par RedOne est l’autre titre le plus accrocheur de l’album avec Oui mais… non. Et si d’aucuns lui reprochent son côté métallique, son efficacité en radio pourrait être redoutable.

Bleu Noir
C’est un très bon titre pour refermer l’exploitation d’un album, la chanson qui résume le mieux cette oscillation entre « bleu » de l’amour et le « noir » de la mélancolie.

Evidemment, Mylène pourrait aussi choisir de mettre en avant le travail de Darius Keeler sur Leïla ou Light me up. Mais ce seraient des choix plus risqués. Le fait que Leïla ait déjà son clip semble d’ailleurs indiquer que le titre ne sera pas proposé en single ; et une chanson en anglais pourrait dérouter le grand public. Quant aux autres titres, ils semblent surtout de splendides chansons d’albums (j’adore M’effondre, mais je ne l’imagine pas en single).

Voilà. Vous avez peut-être d’autres avis sur la question. Mais, de toute façon, c’est Mylène qui aura le dernier mot…

 

« France Dimanche » aime la bio de Cabrel (2)

Extrait d’un article publié dans « France Dimanche », qui évoque la mort du père de Francis Cabrel… à 57 ans – exactement l’âge du chanteur aujourd’hui. En référence à la biographie publiée chez Flammarion, qui cartonne en cette période d’achat de cadeaux de Noël…

Le docu de Direct Star m’a bluffé

 

Direct Star nous a fait passer un très joli moment avec Mylène…

 

 

Je n’avais pas vu le montage final du documentaire, mais j’avais aimé les questions de Jean-Louis Gérard, le journaliste qui en a été le chef d’orchestre. Je viens donc de le regarder sur Direct Star, et j’avoue que je trouve le résultat bluffant. L’an dernier, Shana De Lacroix avait signé un très joli travail avant tout destiné au grand public pour W9. Mais c’est sans doute la première fois qu’un reportage va aussi loin dans l’analyse de ce que Mylène représente pour ceux qui l’aiment. J’espère que Mylène a aimé, parce que je suis certain que beaucoup d’artistes seraient prêts à payer cher pour avoir droit, un jour, à un documentaire de cette qualité. Je suis fier d’y avoir participé. Et je voudrais saluer ici la sensibilité et la finesse de son auteur.

Mylène parle de Laurent Boutonnat

 

Une complicité évidente face à un Laurent Delahousse qui avait déroulé le tapis rouge pour elle...

 

Elle avait dit le plus grand bien qu’elle pensait de son émission, « Un jour, un destin ». Laurent Delahousse l’a remerciée a en l’invitant sur la plateau du JT de France 2, ce dimanche. Une longue séquence ponctuée d’images durant laquelle Mylène s’est révélée plus prolixe que d’ordinaire.  Elle a même gentiment taclé Laurent Boutonnat, dont elle n’a jamais autant parlé que ces derniers temps, en lui reprochant, avec le sourire, d’avoir par trop étouffé sa voix dans les albums précédents.

Que s’est-il passé pour que le pygmalion soit totalement absent de « Bleu Noir » ? Sans doute une simple question de timing, comme la star le dit elle-même. Pressée d’écrire au moment où elle se sentait dans « un vide sidéral » après sa tournée, Mylène n’a pas voulu attendre les musiques de Laurent. Elle a donc puisé dans un nouveau vivier, afin de suivre son inspiration du moment. Et elle semble avoir découvert de nouvelles sensations de productrice en travaillant avec ses musiciens sur les maquettes livrées par Moby – les titres de RedOne et Darius Keeler n’ont pas été retouchés. D’où, peut-être, ce plaisir, perceptible sur le plateau de Laurent Delahousse,  lié à l’émancipation musicale d’une artiste qui était surtout, auparavant, cantonnée dans un rôle d’auteur.